Les pays anglo-saxons ont été les premiers (parmi d’autres) à initier un mouvement d’ouverture de leurs données en mettant en place des portails dédiés : www.data.gov (Etats-Unis), lancé en mai 2009, et www.data.gov.uk (Royaume-Uni), lancé en janvier 2010.
Et pour cause, les enjeux sont importants, comme le souligne un article d’Europe :
– L’open data est un un outil démocratique,
– Il est moyen de valoriser l’action des élus,
– Il permet de renforcer le tissu économique (les retombées économiques de ce marché sont estimées à 27 milliards par la Commission Européenne).
En France, par contre, ce mouvement n’en est encore qu’à ses débuts, mais nous rattrapons assez rapidement notre retard. Plusieurs initiatives locales existent déjà (vous avez probablement entendu parler de Rennes, un véritable pionner, mais aussi peut-être de Nantes, de Montpellier, de Paris ou encore du département de Saône et Loire).Et plus récemment (début 2011), le gouvernement français a lancé une mission du nom d’Etalab, visant à mettre en place un portail unique interministériel (il devrait être en ligne courant décembre 2011), vrai réceptacle de données publiques, sous un format ouvert et librement réutilisables (cf le lancement d’une licence ouverte, compatible avec les standards des licences Open Data internationaux).
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