L’Angleterre renforce ses capacités de contrôle sur les investissements étrangers
Dans le sillage des autres économiques européennes, la Grande-Bretagne va se doter d’un pouvoir de veto afin de bloquer certaines prises de participations.
Dans le sillage des autres économiques européennes, la Grande-Bretagne va se doter d’un pouvoir de veto afin de bloquer certaines prises de participations.
Selon une étude menée par la société Traveldoo, le marché des voyages d’affaires atteignait 28,9 milliards d’euros en France en 2018. Ce chiffre montre la volonté des entreprises de se développer à l’international et de pénétrer de nouveaux marchés. Fort de ce constat et face à la multiplication des risques sécuritaires, il convient de s’intéresser aux risques liés au renseignement que cela comporte.
Face à l’augmentation des risques de prise de contrôle de certaines sociétés, l’Australie vient de consolider son dispositif de contrôle des investissements étrangers, sur fond de tensions avec la Chine et d’accroissement mondial de la vigilance à l’égard des participations exogènes à l’écosystème économique local.
Dans un contexte de crise sanitaire et économique dû à l’expansion du Covid-19, les experts de la sûreté alertent quant à l’augmentation du nombre d’attaques informatiques visant à s’emparer des informations sensibles de hauts fonctionnaires ainsi que de travailleurs du secteur privé officiants depuis leur domicile. La moindre crise, minime soit-elle, est utilisée par les hackeurs pour récolter des informations sur des cibles affaiblies. A ce jour, nombre d’entreprises ne sont pas encore en capacité de soutenir une migration numérique soudaine et massive vers le domicile de leurs salariés.
D’après les informations d’Intelligence Online le marché de l’intelligence économique continue sa concentration.
Crise sanitaire, pandémie, les différents risques liés à l’apparition de maladies ont plusieurs fois marqué de manière durable les mentalités, poussent à changer les comportements de chacun et bouleversent les rapports de force entre les puissances. Ce dossier a pour objectif de mettre en lumière la gestion de la crise due à l’épidémie du COVID 19 par différents acteurs internationaux, et d’analyser les multiples démarches d’influence qui l’ont caractérisée. Ces dernières se focaliseront sur la guerre économique, la guerre informationnelle et l’analyse des coalitions.
Acteur public prépondérant du développement des entreprises françaises, Bpifrance vient d’officialiser la clôture de la première tranche de financement du fonds d’investissement Lac d’Argent (ou Lac 1) destiné à stabiliser le capital d’entreprises cotées en bourse. L’un des multiples bras financiers de l’Etat répond ainsi aux velléités de captation étrangère d es fleurons nationaux et d’affaiblissement de la souveraineté économique tricolore, en dépit de la présence d’un fonds souverain étranger au tour de table de Lac d’Argent.
Alors que l’année 2020 est celle des campagnes électorales en France et aux États-Unis, le club Data Intelligence s’intéresse à l’utilisation du Big Data dans l’analyse des données électorales et aux stratégies digitales employées par les candidats des deux pays. Flirtant parfois avec les limites de l’éthique, ces outils de méthodes d’analyse et de collecte de données à des fins électorales semblent aujourd’hui incontournables. Ce deuxième article est dédié à l’utilisation du Big Data dans l’analyse des données électorales, analyse les méthodes de guerre de l’information utilisées lors des élections américaines de 2016.
Cette enquête met en lumière un réseau de comptes Twitter très probablement automatisés – ou du moins fabriqués – utilisés par le camp favorable à Pékin pour véhiculer un message pro-gouvernemental, à la fois sur la question de Hong Kong, que sur le sujet épineux du nombre de décès liés au Covid-19 en Chine.
A l’issue de l’audience du tribunal de Châlons-sur Saône, la société Tunneling Equipment a été placée en liquidation judiciaire sans poursuite d’activité. Avec cette cessation, la France perd son dernier site de production de tunneliers, fragilisant sa maîtrise de la chaîne de valeur dans les infrastructures.