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Risques et gouvernance cyber

L’« épidigitalogie », ou l’évolution de l’épidémiologie digitale

Lors d’une conférence à l’École de Guerre Économique organisée par le club Cyber de l’AEGE le 6 novembre 2018, Monsieur Laurent Heslault, directeur des stratégies de cybersécurité chez Symantec, a détaillé ce qu’il appelle « L’épidigitalogie », ou l’évolution de l’épidémiologie digitale. Allant de la genèse des premiers virus au plus contemporain des maliciels, de nombreux parallèles peuvent être tirés entre l’épidémiologie et l’analyse de cyberattaques. La conférence permis de mettre en exergue notre niveau de cyberdépendance, et apporter ainsi des solutions de cyberdéfense afin de continuer à tirer parti des opportunités de la transformation numérique.

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Enjeux de puissances et géoéconomie

Fusion Alstom-Siemens : les inquiétudes britanniques devant la naissance d’un géant européen des transports

Network Railway (NR) entame ses négociations avec l’Union européenne dans sa tentative de blocage de la fusion Siemens-Alstom. Appuyée par le gouvernement britannique, l’entreprise n’est pas la seule à émettre des inquiétudes. D’autres entreprises européennes, l’Union européenne ainsi que le Gouvernement australien ont eux aussi émis des réserves face au projet. La constitution d’un « champion européen des transports » ne fait pas l’unanimité.

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Risques et gouvernance cyber

Sénégal : une école nationale de cybersécurité à vocation régionale

Le 6 novembre 2018, le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a inauguré l’école nationale de cybersécurité à vocation régionale (ENVR) de Dakar. Unique en son genre sur le continent africain, ce partenariat franco-sénégalais a vocation à devenir un pôle de référence. Les premières formations seront dispensées en 2019.

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Sûreté et gouvernance des risques

[JdR] – La pratique du Name and Shame dans l’évaluation du risque de réputation

Bad buzz, bad reputation…la tendance actuelle est à la stigmatisation sans sommation des entreprises dont les pratiques, les produits ou les services vont à l’encontre des préoccupations sociétales. Le Name and Shame, pratique importée de la culture anglo-saxonne se propage progressivement en France. Les plus hautes sphères étatiques s’en sont emparées comme d’une nouvelle arme, conscients de l’impact économique et financier que peut avoir la mauvaise réputation sur l’entreprise visée. A l’ère de la divulgation massive et rapide de l’information et de la tripadvisorisation de la société, le Name and Shame est un nouvel impératif à prendre en compte dans la gestion des risques.

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Business development, innovation et start-up

DBnomics : un agrégateur de données macro-économiques

Lancée en septembre dernier, la plateforme DBnomics rassemble plus de 400 millions de séries de données économiques provenant de plus de quarante instituts statistiques, nationaux et internationaux. Porté par le Centre Pour La Recherche Économique et ses Applications (CEPREMAP), le projet est soutenu par la Banque de France et France Stratégie.

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Enjeux de puissances et géoéconomie

Inquiétudes australiennes sur les partenariats universitaires : l’ASPI dénonce les pratiques de la Chine

L’Australian Strategic Policy Institute (ASPI), un centre de recherche australien a publié un rapport sur le renseignement technologique mené par l’armée chinoise au travers de ses partenariats avec des universités occidentales. La Chine étant considérée comme un rival stratégique, ce transfert de connaissances pourrait représenter une menace pour la sécurité nationale.

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Influence, lobbying et guerre de l’information

Twitter en période électorale : entre polarisation, influence et risque de manipulation

Le 19 septembre 2018 est sortie une étude dans le cadre du Projet le Politoscope (CNRS Institut des Systèmes Complexes Paris Ile-de-France), décortiquant la présidentielle vue par Twitter. En 2016, c’est la campagne américaine qui a été bousculée par l’émergence de l’utilisation à haute dose de ce réseau social, avec notamment la Russie pointée du doigt. Twitter semble être devenu une arme redoutable en période électorale. Entre cartographie en temps réel de la communauté politique et diffusion de fake news, la guerre informationnelle se mesure aisément grâce à un réseau qui tend à devenir un outil d’influence puissant.

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