L’Electronic Business Group (EBG) a organisé une conférence sur l’usage des médias sociaux. Si la théorie est prometteuse, les usages concrets restent limités qund ils ne sont pas catastrophiques.
Qu’on le veuille ou non, la réputation des marques, mais aussi des dirigeants, se fait et se défait sur le Web. Le réflexe de presque tout un chacun, avant d’acheter un produit, un service ou un voyage, est d’aller consulter forums et autres blogs.
Les formations en e-réputation commencent petit à petit à faire leur apparition, suite à l’avènement du web 2.0, des réseaux sociaux et des besoins croissants des entreprises en la matière.
Xavier Paulik affirme : 2012 signera la mort des intranets et les projets de réseau social d’entreprise vont se multiplier…Les entreprises sont-elles prêtes ?
Le Portail de l’Innovation Bretagne estime que la charte d’utilisation des réseaux sociaux de l’entreprise américaine NordStrom peut servir d’exemple.
Fin Septembre 2011, le gouvernement français lançait avec Orange une offre sur les tablettes tactiles à hauteur d’un abonnement à 1 euro par jour pendant deux ans. La cible du gouvernement : les étudiants pour la rentrée universitaire 2011. L’offre proposait deux tablettes tactiles par le biais de l’Ipad d’Apple et de la Galaxy Tab de Samsung.
Un vol d’ordinateur stratégique dans le train ou une cyber attaque. Les entreprises régionales n’échappent pas aux attaques d’intelligence économique. Industrie navale et labo de recherche en tête.
Dans le secteur des Banques en ligne, Boursorama s’impose comme le site le plus visité. Mais est-elle la seule marque soucieuse de son référencement ? Pourquoi l’E-Réputation ?
Historiquement première formation universitaire créée en France spécifiquement sur l’intelligence économique, le Master Intelligence Economique & Communication Stratégique (IECS) forme depuis 1996 de jeunes professionnels et cadres en activité aux stratégies, méthodes et outils permettant de maîtriser l’information stratégique.
Face aux problèmes posés par la publication asymétrique des comptes des entreprises entre la France et ses principaux partenaires européens, le Medef, suite aux réflexions menées par la Délégation interministérielle à l’intelligence économique, propose quelques simplifications pour les PME françaises.
