[JdR] La Lutte Contre le Blanchiment au sein des organismes d’assurance : l’exemple d’AXA France VIE.
La LCB ou Lutte Contre le Blanchiment, une obligation pour tous les établissements d’assurance en quatre points.
La LCB ou Lutte Contre le Blanchiment, une obligation pour tous les établissements d’assurance en quatre points.
La victoire annoncée par le Président Trump sur l’organisation islamique « Daesh » en Syrie ne semble pas pour autant avoir mis un terme aux velléités de création d’un Etat islamique. Les Combattants ayant quitté en masse le territoire Syrien ont trouvé refuge auprès d’organisations extrémistes en Afrique et en Asie du Sud.
Cette région d’Asie du sud ne risque-t-elle pas de devenir le nouveau territoire propice à l’instauration d’un califat ?
Les attaques simultanées et multiples au Sri lanka revendiquées par l’état islamique contre des églises ayant fait des centaines de mort peuvent laisser effectivement penser que l’organisation revient en force dans la région.
Les crises et les accidents font peser sur les entreprises un danger financier certain, dont il est possible de se prémunir. La mondialisation, en raison de l’interdépendance des économies, a décuplé les risques financiers. Cela a conduit, au milieu du 20ème siècle, à une conceptualisation accrue de la discipline de la gestion du risque financier et à la création de méthodes rigoureuses de gestion. Tour d’horizon sur l’émergence de la discipline et ses outils de gestion du risque.
La globalisation du monde a entraîné une perception nouvelle dans la manière de gérer les risques. La sûreté internationale apparaît aujourd’hui comme un enjeu stratégique majeur dans la continuité de l’activité économique de l’entreprise, que l’hypercompétitivité pousse souvent vers de nouveaux marchés.
Peu connues du grand public et trop souvent assimilées à un outil d’optimisation fiscale, les sociétés captives sont pourtant reconnues par les Risk Managers comme un instrument de financement et de pilotage des risques utile à leur politique de prévention. Cet article se propose de faire un focus sur les captives et sur leur environnement règlementaire.
A l’heure où les crises sont de plus en plus récurrentes, en témoignent les dernières mésaventures de Lactalis, Saint-Gobain, Facebook ou encore Altran, « les capacités des organisations à gérer les situations de crise deviennent une véritable source d’avantages concurrentiels ».
Pour nous, Inès Bassou s’est prêtée au jeu des questions- réponses au sujet de la continuité des entreprises et de leur résilience. Formée par Benoit Vraie, elle intègre au quotidien la gestion du stress à son management de crise et à l’actualisation du plan de continuité d’activité (PCA) de son entreprise. À la fin de son interview, un focus vous est proposé sur l’étude de Benoit Vraie et Sophie Cros traitant de l’intérêt des sérious games comme méthode de restitution des apprentissages sous stress aigu.
Toute organisation, par le simple exercice de son activité, produit un impact sur son environnement naturel et humain. S’agissant d’un phénomène relativement nouveau, le risque environnemental reste aujourd’hui encore assez peu considéré par les entrepreneurs, et même si ce constat tend à s’inverser, beaucoup placent les aspects juridiques, économiques, concurrentiels et industriels en priorité. L’atteinte à l’environnement est aujourd’hui sanctionnée par l’article 131-138 du Code pénal, qui introduit la notion de Responsabilité Civile Atteinte à l’Environnement. Deux cas de figure se présentent alors : l’entreprise peut être soit responsable, soit victime d’une atteinte à l’environnement humain ou naturel, survenu par voie accidentelle ou de manière graduelle. Dans le cas où la responsabilité de l’entreprise est engagée, le Code pénal dispose que le montant des amendes est multiplié par 5.
Ainsi, quel est l’impact du risque environnemental pour les entreprises ? Quelles conséquences en termes de business et de réputation ? Quelles solutions mettre en place pour ne pas être tributaire des effets du risque ?
Docteur en sciences économiques, Olivier Hassid est Directeur conseil chez PricewaterhouseCoopers (PwC) France en charge de l’offre globale de sécurité et de sûreté depuis janvier 2016 : cybersécurité, sécurité physique, protection de l’information, lutte contre la fraude, gestion de crise, intelligence économique. En 2017, il prend également la charge de la compliance. Ancien Directeur général du CDSE (Club des directeurs de sécurité et de sûreté des entreprises) pendant huit ans, sous la présidence d’Alain Juillet, Olivier Hassid est également chargé de cours à l’Université Paris Descartes et à l’Université de Nanterre.
Colonel de gendarmerie depuis 2004, Alain Faugeras a d’abord œuvré comme chef de la section « gestion civile des crises » à la Représentation permanente de la France auprès de l’UE à Bruxelles. Il a également participé à la Force de Mise en Œuvre (IFOR) et à la Force de Stabilisation (SFOR) en Bosnie-Herzégovine, avant de prendre la tête de la mission d’assistance frontalière de l’Union européenne à Rafah (EUBAM Rafah) du 25 novembre 2008 au 1er juillet 2012. Après un mandat de Directeur de site en charge de la sûreté aéroportuaire de l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle (CDG), mission effectuée pour le compte de l’International Consultants on Targeted Security (ICTS), Alain Faugeras est nommé Directeur Sécurité et Prévention de la ville de Colombes en 2014. Il occupe encore cette fonction aujourd’hui.
Si exporter ses produits à l’international est le rêve de toute entreprise, cette démarche présente également de nombreux risques. Pour éviter que l’exportation ne mette en péril la santé financière des entreprises, des solutions de prévention existent.