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Le Club Risques de l’École de Guerre Économique a pour objectif de penser les risques en amont et cherche à pallier les dangers pluriels d’un monde physique et virtuel en
Le Club Risques de l’École de Guerre Économique a pour objectif de penser les risques en amont et cherche à pallier les dangers pluriels d’un monde physique et virtuel en
Si tous les dirigeants d’entreprise admettent la nécessité de prendre en compte les risques liés à la chaîne d’approvisionnement dans leur gestion des risques, peu investissent dans l’anticipation de sa survenance. La mondialisation a considérablement modifié la nature de la supply chain ; la rendant plus efficace mais surtout plus vulnérable au « mouvement d’aile d’un papillon situé à l’autre bout du monde ». La qualité du « management » de la supply chain et son suivi de bout en bout, font partie des conditions de réussite d’une entreprise. Dès lors, comment identifier les enjeux, analyser les risques, et anticiper leurs survenances ?
PwC a mené une étude internationale portant sur l’évolution de la perception des menaces par les entreprises, et l’impact de celle-ci sur la transformation des pratiques de la sûreté.
Bad buzz, bad reputation…la tendance actuelle est à la stigmatisation sans sommation des entreprises dont les pratiques, les produits ou les services vont à l’encontre des préoccupations sociétales. Le Name and Shame, pratique importée de la culture anglo-saxonne se propage progressivement en France. Les plus hautes sphères étatiques s’en sont emparées comme d’une nouvelle arme, conscients de l’impact économique et financier que peut avoir la mauvaise réputation sur l’entreprise visée. A l’ère de la divulgation massive et rapide de l’information et de la tripadvisorisation de la société, le Name and Shame est un nouvel impératif à prendre en compte dans la gestion des risques.
Les sociétés opérant aujourd’hui en zones à risques intègrent de plus en plus l’importance d’établir des veilles sur les évènements politiques, sociaux et économiques se produisant dans ces régions afin de pouvoir adapter leur stratégie d’opération vis-à-vis de certaines circonstances. La formation et la protection de leurs expatriés envoyés dans de tels secteurs jouent également un rôle important quant aux attitudes et réactions à adopter en zone à risques et face à des cultures différentes des leurs.
2 Octobre 2018, nomination de M. Joffrey CELESTIN-URBAIN à la tête de la chefferie du Service de l’Information Stratégique et de la Sécurité Économiques (SISSE) au sein de la Direction Générale des Entreprises pour une durée de 1 an.
Vendredi dernier, les députés ont adopté en commission un amendement portant sur la création d’une délégation parlementaire à la sécurité économique (DPSE), décision faisant suite au rapport de la commission d’enquête sur le démantèlement d’Alstom et le rachat de ses activités énergétiques par le groupe américain General Electric (GE).
Le 8 juin 2018, l’ANAJ-IHEDN ainsi que AEGE organisaient la Nuit de la Gestion de Crise. Cet événement, se proposait, par de multiples ateliers, de cerner l’ensemble des aspects de la gestion de crise. Les conférences organisées permirent aux participants d’entendre le retour de professionnels rompus à cet exercice.
Il est tard, les smartphones chauffent, la température monte dans la salle et le café refroidit.
Quoi de mieux qu’un Serious Game pour se plonger dans un univers de crise, le plus réel possible ?
C’est ce que proposait la Nuit de la Gestion de Crises organisée par l’ANAJ-IHEDN et le Club Risques de l’Ecole de Guerre Economique, le 8 juin 2018.