« Dragon » dont chaque tête représenterait une méthode d’action, ces services sont prêts à tout pour alimenter la Chine en informations vitales à son développement. Réseaux étudiants, soft power culturel, cyber attaques, argent, sexe, vols d’échantillons, autant de têtes que beaucoup d’acteurs économiques peinent à prendre au sérieux.
De l’industrie des énergies renouvelables à l’aviation civile, de l’Allemagne aux États-Unis en passant par la France, le documentaire « Le Dragon à mille têtes » illustre au travers de cas concrets les ressorts de l’impressionnante mécanique d’espionnage chinoise. Mécanique dont on ne connaît pas toutes les « têtes ».
Documentaire à voir ici :
Antoine Rioual