On a pu à juste titre comparer le cycle du renseignement et, en le déclinant, celui de l’intelligence économique, à un processus minier ou pétrolier. Ne parle-t-on pas de gisement, de datamining, de raffinage et de distribution à propos des données ? L’un des regrets souvent exprimés par les promoteurs de l’IE a été de constater que l’accès aux gisements de données collectées et stockées par l’administration française, dans le monde entier, n’ait pas été mis à la disposition de l’économie et des entreprises, en particulier par l’intermédiaire des organisations professionnelles, les chambres de commerce et les chambres des métiers.
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