Le 28 septembre 2017 se tenait une conférence portant sur les enjeux géopolitiques et géoéconomiques autour du projet chinois « Belt And Road Initiative » dans l’enceinte de l’Université Panthéon-Assas, organisée par le Centre Thucydide, le Forum du Futur et Synopia.
Le cabinet Spin Partners se positionne sur le marché indien avec le lancement de sa branche Richelieu Advisors, spécialisée dans l'accompagnement de ses partenaires français en Inde et indiens en Europe.
En passe selon les prévisions du PCC de devenir la première puissance économique mondiale en 2020, la Chine use et abuse de l’attractivité de son vaste marché intérieur. Pour y accéder, entreprises et États s’exposent, consciemment ou naïvement, à l’action très organisée des services de renseignement chinois.
L'économie mondiale a toujours été dépendante des startups et des idées intéressantes de nouveaux business. Quel est le paysage actuel dans ce domaine et qui dirige aujourd'hui la course entrepreneuriale ?
Grande puissance économique mondiale, la Chine ne cesse d’attirer les regards sur elle. Comprendre l’évolution de ce vaste pays nécessite de nouvelles grilles de lecture. C’est de ce constat qu’est né le partenariat entre l’Ecole de Guerre Economique et la Japan University of Economics. Ces deux institutions ont rédigés l’étude internationale « China : a bird’s eye view », que le Portail de l’intelligence économique vous met à disposition.
Le troisième volet de la série de diaporamas sonores sur la diplomatie économique, produits par le ministère des Affaires étrangères et du Développement international, a été mis en ligne ce mois-ci. Il est consacré au Japon.
La Chine constitue aujourd’hui le premier consommateur mondial en énergies et sa croissance nécessite une diversification de ses approvisionnements en énergie. L’Afrique suscite depuis plusieurs décennies l’intérêt de Pékin. Aujourd’hui, le Tchad constitue un exemple d’application de la stratégie énergétique chinoise sur le continent noir.
L’Etat chinois mise sur le développement stratégique de son secteur aérien domestique, avec pour ambition ultime de se positionner sur le marché mondial de l’industrie aérienne et aéronautique.
Si le concept d’intelligence économique commence à prendre son essor en France, son volet culturel reste cependant sous-estimé et finalement assez peu étudié. Cette facette culturelle de l’intelligence économique comporte un côté passif et défensif, l’intelligence culturelle, et un côté actif et offensif, l’influence culturelle.
A la France, la haute-couture et à la Chine le made-in-China. Mais jusqu’à quand ?
Le développement des pays d’Afrique est-il susceptible de se réaliser en coopération avec la Chine plus qu’il ne l’a été avec la France?
L'Intelligence Economique c'est aussi savoir utiliser ses atouts et son savoir faire de manière efficiente pour influencer favorablement son environnement. Le Brésil l'a bien compris. Deuxième exportateur de bioéthanol, il tente aujourd'hui de structurer un marché international du bioéthanol par l'influence en s'appuyant sur la culture commune qu'il peut avoir avec certains pays africains.
L'intelligence économique c'est aussi savoir utiliser ses atouts et son savoir faire de manière efficiente pour influencer favorablement son environnement. Le Brésil l'a bien compris. Deuxième exportateur de bioéthanol, il tente aujourd'hui de structurer un marché international du bioéthanol par l'influence en s'appuyant sur la culture commune qu'il peut avoir avec certains pays africains.
Le Jetro est un organisme d’État japonais dont le siège est implanté à Tokyo. Il a été créé en 1958, et se trouve être présent dans 55 pays, dont un des bureaux est à Paris depuis 1963, et 38 autres bureaux sont au Japon. Il s’agit officiellement d’une agence administrative d’État à but non lucratif, qui collabore avec le MITI (Ministère japonais, de l’économie, du commerce et de l’industrie).
En octobre 2011, alors que la crise de la dette souveraine européenne est révélatrice des dissensions entre états membres, la Chine s’est portée candidate à l’élargissement du Fond Européen de Stabilité Financière. Est-ce seulement là une volonté de participer à l’effort collectif ?
Soutenus par l’Etat, les industriels sud-coréens cherchent un relais de croissance dans l’armement.