Depuis la promulgation du Cloud Act, le 25 mai 2018, le Secrétaire d’Etat chargé du Numérique, Mounir Mahjoubi, a décidé de revoir l’organisation du cloud computing de l’Etat français mais surtout du stockage des données étatiques. L’objectif est simple : sécuriser les informations des autorités françaises et éviter que lesdites données ne tombent sous le joug des Etats-Unis.
Maintenant à la tête de la Direction Générale des Entreprises et du Service de l'Information Stratégique et de la Sécurité Economique Thomas Courbe cherche à compléter son équipe.
Le 12 juillet dernier Bpifrance, en partenariat avec 5 laboratoires, actait la création du fond InnoBio2, successeur attendu d’Innobio dans le domaine des Biotech. Un moyen pour l’Etat de soutenir un secteur dans lequel la France est en pointe.
Le 14 mai 2018, Conférence co-organisée par la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale, l’Académie de l’Intelligence Economique et France Audacieuse. Avec la participation de : Paul-Albert Iweins, Hervé Juvin, Pierre Lellouche, Jean-Michel Quatrepoint, Claude Revel
Alors que la Côte d’Ivoire est tenue en haleine par une actualité politique à forts enjeux on oublierait presque la création du « France Stratégie » ivoirien version intelligence économique.
Il est tard, les smartphones chauffent, la température monte dans la salle et le café refroidit.
Dans une économie globalisée et hyperconcurrentielle, les PME suisses n’ont plus la possibilité d’ignorer les apports de l’Intelligence économique (IE). Au sein d’un tel univers, elles ne peuvent pas méconnaître leur environnement, ne pas protéger leurs données ou encore laisser leurs concurrents influer sur les prises de décisions politiques sans réagir. Aujourd’hui ces entreprises doivent choisir entre intégrer ces pratiques ou conserver leur cécité économique dans un marché volatile.
Si les problématiques et les enjeux à l’origine des situations de crises sont en perpétuelle évolution, il en va de même quant aux méthodes et outils de gestion de ces situations complexes. La gestion de crise n’a jamais été aussi intimement liée à la technologie qu’aujourd’hui. Chatbot, IA, IoT, Blockchain, Big Data, Digital, … connaître et suivre les progrès multiples liés aux technologies, c’est se tenir prêt à saisir les opportunités que celles-ci nous offrent, et ce, tout particulièrement depuis ces cinq dernières années.
La Polynésie Française devrait accueillir la première ville flottante au monde. La construction de cette Silicon Valley de la mer va débuter à l’horizon 2020, pour apporter une réponse à la montée des eaux et devenir la vitrine technologique du développement durable et la philosophie libertarienne.
La contrefaçon génère des centaines de milliards d’euros par an. Il s’agit d’un problème majeur et récurrent, notamment pour les industries du luxe et des produits pharmaceutiques. De nouveaux outils d’analyse des sites de e-commerce s’attachent aujourd’hui à détecter la contrefaçon sur Internet grâce à de l’intelligence artificielle.
Troisième investisseur au Kazakhstan, la France entend bien renforcer le partenariat économique et stratégique qui la lie à ce pays d’Asie centrale. Les entreprises françaises sont nombreuses à investir dans une économie kazakhe en voie de diversification.
BPI Group voit une nouvelle nomination au poste de sa présidence. C’est désormais l'Amiral Olivier Lajous qui prend la tête de BPI Group.
M. WOLOCH, ancien secrétaire des Affaires étrangères à l’ambassade de France en Syrie et au Yémen, a rejoint Sanofi en 2008 en tant que manager de la Lutte contre la Contrefaçon avant de devenir chef de la Sûreté Moyen-Orient de Sanofi.
Suite à la déclaration de Donald Trump le 8 mai dernier, les États-Unis ont annoncé leur retrait de l’accord sur le nucléaire iranien. Celui-ci s’accompagne d’une volonté de faire peser à nouveau des sanctions économiques américaines sur l’Iran. Déjà lourdes à l’époque, elles pourraient atteindre des niveaux historiques selon la récente déclaration de Mike Pompeo, le chef de la diplomatie américaine.
La stratégie de Jay Crowley, pour influencer la Commission européenne afin de mettre en place l’identification unique de dispositifs (UDI), n’est pas menée uniquement par l’administration américaine. La technique est plus complexe puisque la FDA en fait autant la promotion que Global Standard 1 (GS1). Rappelons tout d’abord que GS1 n’est pas une entreprise mais une organisation à but non-lucratif financée par les cotisations des entreprises utilisatrices. Fondée en 1974, elle couvre à l’origine le secteur de la grande distribution en étant la première à introduire le code-barres comme moyen d’archivage des éléments produits. Son modèle de code, appelé GTIN (Global Trade Item Number), est composé de 8, 12, 13 ou 14 chiffres.
La Chine souhaite construire un canal traversant la Thaïlande et reliant l’océan Indien et l’océan Pacifique, ce qui lui permettrait de disposer de sa propre voie de navigation vers l’Europe, en contournant le détroit de Malacca. Ce projet ne manque pas d’attiser l’inquiétude ou l’espoir des pays riverains.
Le 24 mai dernier la plateforme de veille et d’analyse Sindup a signé un contrat avec le Centre Français d’exploitation du droit de Copie (CFC) qui représente plus de 3 500 titres de presse.
L’environnement globalisé des affaires mute à une vitesse exponentielle et l’opportunité du changement peut vite se transformer en risque d’obsolescence. A mesure que les pratiques évoluent, la guerre de l’innovation oblige les différents acteurs à s’adapter pour défendre leur place. Nouvelles technologies et business model innovants bousculent les codes et créent un écosystème économique inédit qui génère de nouveaux risques. Pour maîtriser des risques, il faut savoir s’adapter, évoluer voire être créatif mais la réciproque est-elle vérifiable ?
Les incidents Wannacry et l’entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données (RGPD) ont rythmé l’actualité technologique en 2017, captant quasiment à eux seuls le regard des médias et le nôtre. Toutefois, l’actualité de l’année 2017 a été beaucoup plus riche que cela. Inconnus jusqu’ici du grand public, Cherry Blossom, OutlawCountry, BothanSpy, Gyrfalcon, HighRise ou encore, Dumbo, entre autres cyber-outils utilisés par la CIA, ont vu leur existence révélée sur Wikileaks suite à la publication d’une série de documents connue sous le nom de « Vault7 ». Rappelons la compromission de CCleaner, ce logiciel gratuit de nettoyage Windows qui a touché plus de 2 millions d’utilisateurs et qui aurait en réalité visé la compromission des réseaux de grandes entreprises technologiques. Citons aussi les vulnérabilités baptisées Crack, Spectre et Meltdown frappant directement le matériel ou encore les siphonages de fonds sur le réseau interbancaire SWIFT, lesquels n’ont pas cessé depuis 2016. La liste des « événements » ayant marqué l’actualité est très longue. Pour les organisations touchées par ces failles technologiques, les conséquences négatives sont de taille : interruption de leurs activités et potentiellement des infrastructures opérationnelles, exfiltration de secrets d’affaires (données commerciales, de R&D, ..), sabotage, déstabilisation. Dans ce contexte, faire face aux nouvelles menaces multiformes devient un enjeu prioritaire pour les entreprises et les États.
La prévention des risques et la mise en conformité sont des domaines très coûteux pour les entreprises. Processus déjà complexes dans les grands groupes, l’enjeu est de taille pour les start-up. Comment ces dernières sont-elles organisées pour gérer leurs risques ? C’est la question que l’AMRAE a souhaité poser, lors des 26e Rencontres en février dernier.