Le Portail de l’Intelligence Économique a eu l’occasion d’échanger avec le Général Eric Bucquet, directeur de la Direction du Renseignement et de la Sécurité de la Défense, avec lequel nous avons pu aborder les activités de son service, du rôle de l’intelligence économique appliqué à la DRSD et de sujets transverses. Nous le remercions pour cet échange.
Le Japon doit faire face aux ambitions hégémoniques chinoises en mer de Chine. Les objectifs chinois dans cette région sont incompatibles avec les intérêts stratégiques de Tokyo. La sécurité maritime japonaise est particulièrement vulnérable face aux ambitions de Pékin. Le Japon a par conséquent décidé de renforcer les capacités de sa marine militaire en lançant une nouvelle classe d’unités de sous-marins d’attaque : la classe Taigei.
Lundi dernier, des activistes sont rentrés au siège de TotalEnergies pour protester contre les actions du géant français en Russie. Cela souligne la dimension réputationnelle du risque lié aux maintien de liens économiques avec la Russie. La guerre informationnelle cache cependant des réalités économiques.
Dans le cadre du portrait du mois de sa newsletter « Mag'OSINT », le club OSINT & Veille donne la parole à des experts de l'Intelligence économique afin de découvrir leur parcours, leur rapport au renseignement d'origine sources ouvertes (OSINT), leur vision du métier et leur avenir professionnel. Pour évoquer ces sujets, Guilhem Garnier du Portail de l'IE a rencontré Casus Belli et Coupsure, deux membres de la communauté OSINT francophone très actifs sur Twitter qui suivent les conflits armés. Leurs travaux sur le conflit ukranien ont notamment été relayés par de grands médias comme Le Monde ou France 24.
Rédigé par Catherine Delahaye, Pierre-Charles Hirson, Sylvia Grollier et Camille Reymond, professionnels diplômés de l'École de Guerre Économique (EGE) et préfacé par Nicolas Moinet, enseignant à l'EGE et professeur des universités en intelligence économique, "La guerre des puissants" décrypte les stratagèmes de domination de la Chine et des États-Unis dans sa globalité.
Le Club OSINT & Veille de l’AEGE a reçu lundi 21 mars 2022 Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, directeur de l'Institut de Recherche Stratégique de l'École militaire (IRSEM) et Paul Charon, directeur du domaine de recherche « Renseignement, anticipation et menaces hybrides », auteurs du rapport « Les opérations d’influence chinoises. Un moment machiavélien ».
Dans le cadre du portrait du mois de sa newsletter « Mag'OSINT », le club OSINT & Veille donne la parole à des experts de l'Intelligence économique afin de découvrir leur parcours, leur rapport au renseignement d'origine sources ouvertes (OSINT), leur vision du métier et leur avenir professionnel. Pour évoquer ces sujets, Guilhem Garnier du Portail de l'IE a rencontré Casus Belli et Coupsure, deux membres de la communauté OSINT francophone très actifs sur Twitter qui suivent les conflits armés. Leurs travaux sur le conflit ukranien ont notamment été relayés par de grands médias comme Le Monde ou France 24.
Avec l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la société française doit impérativement se préparer à la guerre de haute intensité. Les guerres asymétriques, modèle de conflictualité principal sur les dernières décennies, ont baissé drastiquement l’acceptabilité de la mort. Le management de l’information auprès de l’opinion publique risque d’être le facteur clé du prochain conflit à haute intensité et il est stratégique de préserver sa population des manœuvres informationnelles ennemies.
Suite à l’offensive militaire russe en Ukraine, les cryptomonnaies en général et le Bitcoin en particulier, s’imposent des deux côtés de la ligne de front comme une variable majeure du conflit en cours, à la fois comme un moyen de lever des fonds mais aussi comme une alternative éventuelle au monopole de SWIFT. En filigrane se dessine aussi le rapport de force à venir pour réguler et contrôler le secteur des crypto actifs, dont le rôle géopolitique ne cesse de s’accroître.
La France, classée 3ᵉ du « Top 100 Global Innovators » par Clarivate Analytics en 2019, attire de plus en plus d'investisseurs. Les fonds d'investissement étrangers y intensifient leurs activités, reconnaissant l’opportunité de ce marché qui constitue un terreau fertile pour l'innovation. Quelle est la stratégie de ces fonds et faut-il s’en méfier ?
En plein conflit russo-ukrainien et suite au rachat par EDF d’Arabelle, une pièce stratégique de la filière nucléaire française, l’État se dit prêt à céder 20 % du capital des turbines.
Suite à l’offensive militaire russe en Ukraine, les cryptomonnaies en général et le Bitcoin en particulier, s’imposent des deux côtés de la ligne de front comme une variable majeure du conflit en cours, à la fois comme un moyen de lever des fonds mais aussi comme une alternative éventuelle au monopole de SWIFT. En filigrane se dessine aussi le rapport de force à venir pour réguler et contrôler le secteur des crypto actifs, dont le rôle géopolitique ne cesse de s’accroître.
L’agression russe en Ukraine constitue une violation flagrante des règles de droit international. Conscient de cela, la Russie tente de se justifier maladroitement. Cependant, le réel enjeu pour Moscou demeure bien plus politique que juridique.
La montée en puissance de l’infoguerre confronte la France à une menace de déstabilisation de plus en plus présente de la part d’autres puissances. Les offensives de la Russie et de la Chine, particulièrement habiles dans ce domaine, à l’égard de l’opinion publique française nécessitent pour la France de consacrer des moyens à la hauteur des enjeux qui l’attendent pour affirmer sa capacité à faire front sur le champ de bataille de l’information.
Le Portail de l’IE a eu l’occasion d’échanger avec Jérôme Pasinetti, porteur de l’offre dédiée à l’intelligence économique (ARISE) de la société d’Amarante International. Nous le remercions de ces échanges.
Avisa Partners, le cabinet parisien spécialiste de l’intelligence économique se lance dans le rachat de DGM conseil qui a annoncé, mardi 2 mars, être en négociations exclusives à ce sujet. Trois mois après le rachat de 35° Nord, le cabinet d’intelligence économique affirme une nouvelle fois son ambition de se renforcer dans la communication et les affaires publiques.
Le dispositif français ne semble pas encore suffisamment protéger les actifs stratégiques matériels et immatériels ciblés par des acquisitions hostiles américaines. Dans l’immédiat, des efforts supplémentaires doivent être fournis pour protéger la souveraineté numérique et technologique de la France, tant au niveau du capital-risque que du cadre réglementaire et légal.
Dans ce nouveau format, le Portail de l’IE souhaite compiler certaines informations passées inaperçues sur une période donnée. Pour cette première édition, nous avons compilé quatre informations concernant les pratiques d’ingérence chinoise en France, en Europe, en Australie ainsi qu’une avancée chinoise significative dans le champ de la 6G.
La smart city est un concept en vogue ces dernières années, incarné par des villes telles que Singapour, Oslo ou Zurich. Ce principe de développement urbain consiste à mobiliser les nouvelles technologies afin d’améliorer la qualité de vie, de créer un environnement urbain connecté apportant des réponses aux enjeux environnementaux, sociaux, sécuritaires... Mais au-delà des conditions de vie des populations, la ville intelligente s’affirme de plus en plus comme un élément de soft power au service du rayonnement international des États. Une véritable compétition s’est donc engagée autour des smart cities, avec la montée en puissance des pays du Golfe et de la Chine.
A l'aube d’un conflit entre la Russie et l’Ukraine, la république du Kazakhstan, sous couvert d’enjeux de pouvoir, a été le cadre de violentes manifestations. Selon les médias russes, certaines auraient été orchestrées afin d’affaiblir l’influence de Vladimir Poutine sur la région de l’Asie Centrale. Le Kazakhstan a dû mettre en place des politiques de sûreté et de sécurité sous l’égide russe.