Tous les lundis, le Portail vous propose la revue des principales actualités qui ont marquées l’intelligence économique au cours de la semaine. Au menu aujourd’hui, renseignement russe, conseils d’utilisation de Facebook, ingénierie sociale et lobbying américain en France. Bonne lecture !
« Les Russes sont devenus très agressifs dans le domaine du renseignement », boursorama.com
VIDEO Ali Laïdi reçoit Remi Kauffer, spécialiste de l’espionnage, qui vient de publier "Histoire mondiale des services secrets" (Ed. Perrin). Dans cet ouvrage, il revient sur les origines de l’espionnage, utilisé dès l’Antiquité, et sur ses évolutions, notamment avec les nouvelles technologies. Aujourd’hui, V. Poutine n’aurait désormais plus de complexe à aller chercher le renseignement. Retour aux plus belles heures de la guerre froide, entre jolies Russes poussées dans les bras de décideurs et gadgets technologiques.
« check your facebook settings to make sure your posts are not searchable », Nakedsecurity.sophos.com
ANGLAIS. Lors d’une veille, les réseaux sociaux représentent une source phénoménale d’informations personnelles ou professionnelles permettant aux curieux d’apporter en toute légalité une plus value notable à leurs analyses environnementales. Ce petit article permet de limiter les petites indiscrétions aux grandes conséquences.
« Ingénierie sociale : les employés sont-ils le maillon faible de la cybersécurité ?», Silicon.fr
L’ingénierie sociale est un concept mal connu du grand public. Pourtant il guide de nombreuses activités ciblant un public toujours plus large au point de se demander si l’employé ne serait pas le maillon faible de la cyber sécurité. Il existe pourtant des solutions contre ces tentatives de manipulation
« Enquête sur le lobbying américain en France », Franceinfo.fr
Un grand patron français dévoile les outils notamment de la French American Foundation pour imposer les normes et les valeurs américaines sous couvert de diplomatie douce. Une tentative d’influence par le haut s’effectue sur nos élites, quelles sont les défenses possibles contre ces activités de « soft power » ?.