Le groupe Bolloré, digne héritier des réseaux français est un acteur majeur du continent africain. Pour s'implanter là-bas, les puissances étrangères ont intérêt à déstabiliser le groupe et, en particulier, Socfin. L’action des ONG et de leurs satellites affiliés au « philanthrope » Georges Soros est mise en lumière dans ce dossier fourni. Une cartographie est également présente pour détailler ces « réseaux Soros ». Réseaux s'organisant par le biais des financements de l'Open Society Foundation ; mais également par l’entremise des ONG et des gouvernements, comme la présidente du Liberia, ancienne d’OSIWA : une ONG partenaire du Monde Afrique, dont le journal relaye des enquêtes à charge contre le groupe Bolloré. Cependant, cette guerre de l’information ne se limite pas à des actions émanant d’ONG financées par l’Open Society, à partir d’une grille de lecture guerre économique/guerre de l’information, le dossier avertit des procédés d’autres ONG telles que Global Witness, Action Aid et de leur influence sur le triptyque politique,/ économique/ et sociétal.
Ce travail d’investigation fourni et détaillé est à méditer afin de prendre conscience des moyens d’actions des guerres informationnelles, et de l’influence dont dispose l’Open Society par ses différents leviers contre un groupe français.